Accueil Geneviève Laffitte, un regard parmis d’autres

Habitants du fleuve

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Accoudée au bastingage du dernier pont à contempler cette rive exceptionnellement proche du bateau, surgissent, jetés dans l’eau depuis le  pont inférieur, des sacs en plastique vers lesquels se dirigent des dizaines de canoës emmenés par des enfants, tous plus rapides les uns que les autres.
  Cette agitation soudaine m’amuse jusqu’au moment où un passager m’explique que c’est la coutume d’envoyer aux habitants du fleuve les reste des repas
des voyageurs.
  D’ailleurs, les voyageurs eux-mêmes prévoient des paquets de biscuits ou des bonbons qu’ils envoient aussi par-dessus bord.

Des canoës s’accrochent parfois aux bateaux pour vendre des fruits ou pour se faire remorquer, le fleuve étant impossible à remonter sans moteur.

En arrivant dans les ports, le quai est envahi de vendeurs de tout et pour avoir les premiers clients, certains se tiennent en équilibre sur les poteaux plantés dans l’eau où s’amarrent les bateaux.
  Des femmes et leurs enfants pagaient autour du bateau pour demander ce que ne leur offre pas la vie recluse qui est la leur dans cet espace vierge.

Fleuve Amazone, Amazonie,
19 avril 2010

 

Du ciel au fleuve,
de l'eau partout.

Santarem, Amazonie, 2010

 

Dos à la forêt.

Amazonie, 2010

 

Comment gagner de la surface sur le fleuve.

Amazonie, 2010

 

Le quotidien malgré le dos à la forêt.

Amazonie, 2010

 

La lessive arc-en-ciel.

Amazonie, 2010

 

Sur les gradins pour voir passer les bateaux.

Amazonie, 2010

 

Vivre au sein de l'élément et oublier un temps le dos à la forêt.

Amazonie, 2010

 

Dos à la forêt.

Amazonie, 2010

 

Les enfants sont souvent les premiers au bout du ponton à regarder passer les bateaux.

Amazonie, 2010

 

Les pirogues se lancent à la pêche aux sacs jetés du pont bateau.

Vers Gurupa, Amazonie, 2010

 

La fragilité de l'embarcation dans le courant du fleuve ne semble pas inquiéter la mère qui se dirige
vers le bateau lanceur d'offrandes.

Vers Gurupa, Amazonie, 2010

 

S'accrocher au bateau pour être au plus près de ce que l'on peut recevoir.

Vers Gurupa, Amazonie, 2010

 

Le bateau auquel on s'accroche, c'est aussi le lien avec l'ailleurs.

Vers Gurupa, Amazonie, 2010

 

L'agilité de la jeunesse.

Vers Gurupa, Amazonie, 2010

 

La convergence des pirogues des femmes
et des enfants.

Vers Gurupa, Amazonie, 2010

 

Se faire remorquer, le temps de vendre quelques mangues à de fugaces clients qu'il ne faut surtout pas rater.

Vers Gurupa, Amazonie, 2010

 

Risquer la chute, en équilibre sur la bitte d'amarrage pour être le premier à sauter dans le bateau quand il accostera, pour vendre quelques sandwiches ou bien
quelques glaces.

Vers Gurupa, Amazonie, 2010

 

L'art de partager l'espace.

Vers Gurupa, Amazonie, 2010

 

Visite au parloir.

Gurupa, Amazonie, 2010

 

Charger, décharger, livrer.

Gurupa, Amazonie, 2010

 

Des étalages de poissons à la mesure des fleuves.

Puerto Velho, Amazonie, 2010

 

Se protéger du soleil...

Amazonie, 2010

 

... et aussi de la pluie.

Amazonie, 2010

 

Clairière au bord du fleuve; un espace à vivre.

Amazonie, 2010

 

Les pirogues à moteur ne déchirent même pas le calme environnant tant il est immense.

Amazonie, 2010

 

Propriété privée?

Amazonie, 2010

 

Brouettes sur le toit, l'artisan se déplace
par le fleuve.

Amazonie, 2010

 

Bungalows de plage pendant la saison
des pluies...

Alter Do Chao, Amazonie, 2010

 

... mais l'eau est bonne.

Alter Do Chao, Amazonie, 2010