Accueil Geneviève Laffitte, un regard parmis d’autres

Trafic flottant

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Sur ces fleuves aux allures de mers sans rives et sans limites, le gigantisme est aussi dans ce que les hommes ont conçu pour pouvoir vivre là.
  Des crues qui peuvent atteindre quatorze mètres justifient le fait que le port de Manaus
soit flottant.

D’ailleurs, tout est flottant, le trafic est flottant, le commerce est flottant et parce que les marchandises lourdes voyagent sur des barges, le spectacle  d’étages de poids lourds flottant au milieu du fleuve, pour surréaliste qu’il soit, n’est rien comparé à celui des plateformes-usines qui avancent en silence pour livrer le carburant ou le gaz dans les villes au long du fleuve.
  Entre bateau et usine, on se demande de quelles entrailles, de quels chantiers navals ont bien pu sortir ces mastodontes qui, par ailleurs,  ne semblent pas effrayer les embarcations artisanales sans lesquelles l’Amazonie ne serait pas ce qu’elle est aussi.

Santarem, Amazonie,
18 avril 2010

 

Relevés des crues
du Rio Negro.

Manaus, Amazonie, 2010

 

Port flottant construit par les Britanniques.

Manaus, Amazonie, 2010

 

Arrivée à Manaus.

Manaus, Amazonie, 2010

 

Santarem, Amazonie, 2010

 

Bateaux à taille humaine.

Amazonie, 2010

 

Vers le marché.

Amazonie, 2010

 

Récupération et transport de marchandises au long des fleuves.

Amazonie, 2010

 

La niche du chien, la baignoire et la parabole.

Amazonie, 2010

 

Les bananes, les oignons, les citrons... et les passagers à l'arrière.

Amazonie, 2010

 

La douceur du foyer arrive par le fleuve.

Gurupa, Amazonie, 2010

 

La plateforme livrant
le carburant.

Amazonie, 2010

 

Le remorqueur aide le bateau-citerne à remonter le flot.

Amazonie, 2010

 

Chargement léger
de la barge, en vue d'une route lointaine.

Amazonie, 2010

 

La route du fleuve,
la seule.

Amazonie, 2010

 

Dans le calme de l'aube, deux gigantismes glissent lentement, l'un à la surface de l'autre.

Amazonie, 2010